© Florence Faval
Ma première passion dans le domaine des arts a été la sculpture que j'ai choisie comme discipline principale en rentrant aux Beaux-Arts de Genève. Du modelage à la pierre puis les objets, les assemblages, les installations,... Tous les matériaux me parlent même les plus pauvres comme le plexiglas ou le tissu.
Mon travail de sculpteur doit beaucoup à la danse que j'ai pratiqué depuis mes 4 ans et pendant très longtemps. Cette connaissance du corps et de l'espace est à la base des formes, des tensions et du mode d'occuper l'espace qu'ont mes sculptures.
Mes sculptures sont des assemblages de différents matériaux et d'objets devenus inutiles; la fonction de ces objets disparaît devant l'urgence d'un devenir artistique qui veut dessiner de nouvelles formes dans l'espace et en rendre la poésie.
Dernièrement, j'explore aussi un monde un peu différent où des animaux humanisés créés avec du papier et des tissus brodés se rassemblent et s'assemblent habitant matériellement l'espace réel pour y porter une note de surréalisme ou de poésie du fantastique.
métal, bois, verre, savon, fil, objets et autre
métal, bois, cordes, plexiglass, objets et autre
Animaux humanisés réalisés avec du papier, bois et tissus brodés.
Ces personnages sont des ministres un peu particulier nés en même temps que le livre "Rien n'est plus comme avant". Il s'agit du Ministre de l’Innovation, du Ministre de la pensée, du Ministre de l'épanouissement, du Ministre du courage, du Ministre de l'originalité, du Ministre de l'astuce, du Ministre de la vivacité et du Ministre de la sensibilité.
Leur rôle est de créer un pays, Assurdia, le pays inexistant car partout et nul part.
sculptures qui reprennent l'idée du meuble comme forme mais dont la fonction disparaît pour laisser place à une nouvelle tridimensionnalité.
Éléments et objets installés dans une valise qui racontent et illustrent une scène de vie comme dans un théâtre.
Valise du choréographe
Valise de l'écuyer
Valise du poète
© Florence Faval